Post by Spinhead on Aug 15, 2003 22:00:36 GMT -5
voici une histoire inspi ré du jeu mordheim
je suis ouvert au critiques
Nuit a Mordheim
partie 1
Le vent soufflait d'une morsure froide, sans pitié, et douze sillouettes indisctintes marchaient au clair de lune dans un chemin lugubre ayant l'air d'avoir été fait par les arbres eux-mêmes car ils étaient bien alignés et serrés sur le côté, comme si la forêt entière voulait voir les voyageurs et les dévisager d'un visage inexistant mais présent, autant que la peur enracinée dans onze de ces âmes fragiles. Car un d'eux ne voyait pas la peur. Point par courage, et encore moins par inconscience, non, c'était la rage qui servait d'armure à la crainte d'un bois cent fois centenaire. Le noble Henris le galois était un aristocrate jusque dans ces ancêtres, qui n'aimait pas partir de chez lui. Mais on ne discute pas les ordres de l'empereur, et l'esprit d'Henris était hanté par des images de son déshonneur qui, d'après lui, était très proche. Il ne croyait pas trouver de ces pierres qu'on dit magique. Pas plus à ça qu'aux dragons et autres créatures qui ont établi résidence dans les mythes les plus anciens. L'esprit du noble devint si troublé qu'il était certain d'avoir mal compris les ordres de l'Empereur. Il s'adressa à un ami d'enfance :
- Harold !
- Oui monseigneur ?
- On va chercher quoi là-bas ?
- Une certaine pierre magique, monseigneur.
- Merci quand même...
Henris s'attendait bien sûr a cette réponse mais il en espérait une différente. Il voulait que ce cauchemard s'arrête
et retourner à sa résidence. Sa résidence était très grande, d'autant que la moitié de son terrain était un champ de tir. Henris avait été initié très jeune à l'art de la chasse et avait développer un talent incroyable dans le maniement de l'arc. Il possédait plus de trente modèles différents et pouvait se rappeler de chacun par coeur. C'est d'ailleurs ce qu'il commenca...
- Réveillez-vous monseigneur !
- Mmm...quoi ? Harold ! Pourquoi cries-tu comme ça ?
- Vous vous êtes endormi sur votre monture.
- Ça, une monture ? Ce n'est qu'un mulet !
- Vous avez choisi de ne pas amener Noble-crin, monseigneur.
- Heureusement ! Mon cheval mérite plus de respect que celui attribué aux montures des vulgaires chasseurs de trésors !
Tout doucement, ils arrivèrent a une cité en ruine qui invoquait une puissance qui avait été punie, maudite. Chaque pas, chaque souffle, chaque son résonnait dans la ville et résonnait encore jusqu'à disparaître comme si les bruits se perdaient dans l'ancienne cité qu'était Mordheim. La rue se rappetissait peu a peu, pour ne devenir qu'une ruelle sombre et sinistre, morbide mais surtout qui inspirait le sentiment d'être observé. Soudain, le silence sembla murmurer, puis menacer et enfin crier d'un son vide, lointain. Une volée de corbeaux passa au-dessus des inquiets et l'athmosphère pesante qu'ils laissèrent derrière eux était insuportable. Henris trouva un vieil entrepôt dont la porte manquait et laissait la place à un trou dans le mur, aussi noir que la crainte qui le suivait. Ils entrèrent et s'installèrent. Ils sombrèrent un par un dans le tourbillon infini du sommeil.
Henris se réveilla en sursaut. Il suait abondamment. Il se leva, marcha dans l'entrepôt et regarda autour de lui. Aucune lumière... Ils se demenda ce qui l'avait réveillé. Il écouta. Il paniqua. Impossible. Il l'avait entendu.Il compta ses compagnons. Onze. Onze. Ce nombre résonna dans son esprit. Il l'entendit encore. Le bruit. Ce bruit. Il le reconnaîtrait entre mille !
- Un arc !!!...
Une flèche vint se loger dans la gorge du malheureux, l'obligant à se mettre à genoux. Bien sûr, son cri réveilla ses compagnons, mais trop tard...des êtres entrèrent par l'ouverture, la seule, de tout le bâtiment. A genoux, le noble vit Harold décapité, et la derniere chose chose qu'il entendit, c'est :
- Tu a entendu mon arc ? Félicitations. Je me demande si j'aurai ton don si je mange tes oreilles...Herkherkherkherk !!!
je suis ouvert au critiques
Nuit a Mordheim
partie 1
Le vent soufflait d'une morsure froide, sans pitié, et douze sillouettes indisctintes marchaient au clair de lune dans un chemin lugubre ayant l'air d'avoir été fait par les arbres eux-mêmes car ils étaient bien alignés et serrés sur le côté, comme si la forêt entière voulait voir les voyageurs et les dévisager d'un visage inexistant mais présent, autant que la peur enracinée dans onze de ces âmes fragiles. Car un d'eux ne voyait pas la peur. Point par courage, et encore moins par inconscience, non, c'était la rage qui servait d'armure à la crainte d'un bois cent fois centenaire. Le noble Henris le galois était un aristocrate jusque dans ces ancêtres, qui n'aimait pas partir de chez lui. Mais on ne discute pas les ordres de l'empereur, et l'esprit d'Henris était hanté par des images de son déshonneur qui, d'après lui, était très proche. Il ne croyait pas trouver de ces pierres qu'on dit magique. Pas plus à ça qu'aux dragons et autres créatures qui ont établi résidence dans les mythes les plus anciens. L'esprit du noble devint si troublé qu'il était certain d'avoir mal compris les ordres de l'Empereur. Il s'adressa à un ami d'enfance :
- Harold !
- Oui monseigneur ?
- On va chercher quoi là-bas ?
- Une certaine pierre magique, monseigneur.
- Merci quand même...
Henris s'attendait bien sûr a cette réponse mais il en espérait une différente. Il voulait que ce cauchemard s'arrête
et retourner à sa résidence. Sa résidence était très grande, d'autant que la moitié de son terrain était un champ de tir. Henris avait été initié très jeune à l'art de la chasse et avait développer un talent incroyable dans le maniement de l'arc. Il possédait plus de trente modèles différents et pouvait se rappeler de chacun par coeur. C'est d'ailleurs ce qu'il commenca...
- Réveillez-vous monseigneur !
- Mmm...quoi ? Harold ! Pourquoi cries-tu comme ça ?
- Vous vous êtes endormi sur votre monture.
- Ça, une monture ? Ce n'est qu'un mulet !
- Vous avez choisi de ne pas amener Noble-crin, monseigneur.
- Heureusement ! Mon cheval mérite plus de respect que celui attribué aux montures des vulgaires chasseurs de trésors !
Tout doucement, ils arrivèrent a une cité en ruine qui invoquait une puissance qui avait été punie, maudite. Chaque pas, chaque souffle, chaque son résonnait dans la ville et résonnait encore jusqu'à disparaître comme si les bruits se perdaient dans l'ancienne cité qu'était Mordheim. La rue se rappetissait peu a peu, pour ne devenir qu'une ruelle sombre et sinistre, morbide mais surtout qui inspirait le sentiment d'être observé. Soudain, le silence sembla murmurer, puis menacer et enfin crier d'un son vide, lointain. Une volée de corbeaux passa au-dessus des inquiets et l'athmosphère pesante qu'ils laissèrent derrière eux était insuportable. Henris trouva un vieil entrepôt dont la porte manquait et laissait la place à un trou dans le mur, aussi noir que la crainte qui le suivait. Ils entrèrent et s'installèrent. Ils sombrèrent un par un dans le tourbillon infini du sommeil.
Henris se réveilla en sursaut. Il suait abondamment. Il se leva, marcha dans l'entrepôt et regarda autour de lui. Aucune lumière... Ils se demenda ce qui l'avait réveillé. Il écouta. Il paniqua. Impossible. Il l'avait entendu.Il compta ses compagnons. Onze. Onze. Ce nombre résonna dans son esprit. Il l'entendit encore. Le bruit. Ce bruit. Il le reconnaîtrait entre mille !
- Un arc !!!...
Une flèche vint se loger dans la gorge du malheureux, l'obligant à se mettre à genoux. Bien sûr, son cri réveilla ses compagnons, mais trop tard...des êtres entrèrent par l'ouverture, la seule, de tout le bâtiment. A genoux, le noble vit Harold décapité, et la derniere chose chose qu'il entendit, c'est :
- Tu a entendu mon arc ? Félicitations. Je me demande si j'aurai ton don si je mange tes oreilles...Herkherkherkherk !!!