Post by Lawsuit on Jan 2, 2008 22:21:36 GMT -5
Ne regarder pas les fautes et tout se passeras bien
Le premier chapitre et les 2 premiers paragraphes du deuxième.
La scène débute dans un bâtiment industriel de cette zone appelé la Haute-Ville. Un endroit d’une propreté immaculé, les couloirs d’apparence épurée donnant un ton technologique. Arrivant du creux d’un couloir une jeune femme et un homme discutaient, Carolina et un de ses collègues de l’endroit. Tous les deux vêtu élégamment, ils conversaient en marchant.
Mr H Jones : « Vous savez, il n’est pas très prudent de continuer à vivre Dans les bas fonds de Gauk city Madame. Avec vos possessions actuelles il est inévitable que vous causiez la jalousie de vos pairs»
Caro : « Ne vous inquiétez pas comme ça, je cause peut-être la jalousie mais je sais me battre et j’ai de quoi me défendre. » Elle posa la main sur un des fusils porté à sa taille. « N’oubliez pas que je viens de ces cartiers, je sais comment ont y joue. »
Mr H Jones : « Ça reste de l’imprudence! Vous êtes maintenant un élément complet pour nous, votre avenir ici est très prometteur. »
Caro : « Je le sais bien. »
Mr H Jones : « Vous n’agissez pas en conséquence pourtant, vous devriez vivre dans la ville haute, la ou il y a de la sécurité pour nous, les vrais gens. Vous en avez les moyens maintenant. »
Caro : « … Pas de mépris s’il vous plaît. Ceux à l’extérieur de la haute ville ont la vie plus dure mais n’en sont pas moins des gens. J’attends d’avoir un montant de coté avant d’emménager pour de bon ici.»
Mr H Jones : « Soyons sérieux, vous en auriez un montant de coté, si vous cessiez de mettre votre argent sur des futilités. Vous faire produire des bijoux particuliers sur commande comme vos boucles d’oreilles, était-ce vraiment important? »
Il finit sa phrase en pointant un de ses lobes. Carolina s’arrêta sec, insultée elle répliqua aussitôt.
Caro : « Ce que je fais de mon argent ne vous regarde pas monsieur Jones. »
Arrivant au bout du couloir, Carolina sans saluer son collègue prit d’un pas décidé une porte menant au stationnement. Elle marcha dans le garage intérieur jusqu'à sa moto. Elle possédait un engin turbocompressé de belle allure. Elle mit une pèlerine sale pour cacher ses habits de citadine, se disant en elle-même :
« Ce Jones …. Je n’ai jamais rien eu de beau qui était à moi avant de travailler ici.»
Elle démarra son engin, sans le laisser ronronner bien longtemps elle poussa les manettes au fond. Seulement à 3 pieds des portes de sortie que ces dernières s’ouvrirent pour la laisser passer comme un éclair.
Caro : «J’ai le droit de m’acheter de jolies choses, j’ai accès à la ville haute quand même. »
Tout juste sortie du garage elle embraya la deuxième vitesse, s’en suit une accélération extrêmement féroce.
Caro : «Je fais comme je veux.»
La surface des routes de la ville haute était en une sorte de béton doré qui demandait peu d’entretien. Les véhicules qui y étaient disponible étaient extrêmement performants et facile à prendre en main. Partout autour d’elle défilaient de hauts immeubles aux formes courbées d’une blancheur immaculée. Les routes comme les trottoirs étaient d’une couleur matte et d’une propreté sans faille. Moteur à plein régime, Carolina avançait à vive allure au travers des autres véhicules qui roulaient eux aussi à bonne vitesse. Les piétons se promenaient vêtus d’habits conforme les uns aux autres et correspondaient à certains critères d’esthétique de la haute ville. Pour ne pas ralentir le trafic les piétons avaient comme commodité des pontons qui passait par dessus les carrefours.
Près des limites de la ville haute elle se donna 2 petites tapes sur la tempe, sur le coté de la tête un cercle métallisé apparu et un gadget électronique pas plus gros qu’une pièce poussa alors sur sa tempe. Il s’agissait de l’identifiant unique associé à son ADN, utilisé entre autre pour les contrôles d’accès et pour des systèmes de communications. La circulation dans la haute ville étant réservé à l’élite, une identification fiable était nécessaire pour bien géré les accès à la ville. Sans ralentir, elle passa devant un poste de contrôle automatisé qui valida sa sortie de la haute ville. Elle abordait alors une descente régulière sur une route non pavé, elle relâcha les gaz et se laissa porter par la pente et ses pensées.
« La mentalité de merde c’est humain. Peu importe la position dans la société en Haute comme en Basse-Ville il y a des cons. »
**La descente à laquelle procédait Carolina était dans une zone désertique qui sépare Geuk city et la Haute ville. Dans cette zone les déplacements sont contrôlés. Ceux qui ne sont pas autorisé dans la région haute sont tirés à vu par des robots, à moins d’autorisations spéciales pour les petites gens. Ce genre d’autorisations permettait à des personnes choisis d’effectuer des travaux plutôt ingrats de maintenance plutôt bien payé. Une condition était demandée pour être éligible à ce type d’emploi, être organique à au moins 92%, vêtements inclus. Les cybers n’avaient pas accès à cette zone restreinte pour des raisons de sécurité. Pour cette même raison les humains hybride en ville haute ne pouvaient la quitté que par des zones dites neutre qui permettait le transfert entre les grandes villes, mais à vrai dire même les 100% biologique préférait passer par les zones neutre qui était pré sécurisé. Il faut dire qu’après deux semaines consécutives hors zone, à moins d'autorisations officielles, le certificat de sécurité de l’implant se désactivait automatiquement. Un coup le certificat expiré le retour par une zone restreinte devenait pratiquement irréalisable, sans risquer la mort. L’autre cas d’exception était d’être membre d’une organisation de forces spéciales, ces derniers étant déclaré toujours actifs.
Carolina s’approchait des limites de Gauk City. Le changement de classe en entrant dans ce quartier était flagrant. La crasse, la saleté heurtait les yeux au premier regard. Les gens assis dans la rue, des airs malheureux accrochés aux visages. L’odeur des cadavres et les morceaux de robots éparpillés un peu partout complétaient cet incroyable décor d’après guerre. Il faut dire que pour ajouter au malheur les criminels de la haute ville étaient bien souvent relâchés dans la basse ville après cond**nation. Les plus coriaces survivaient devenant Power Freaks bien que la plupart trépassaient. Sur sa moto elle roulait néanmoins sans inquiétude. Comme tout le monde élevé dans la pauvreté elle était habituée à ce spectacle. C’était son univers depuis sa naissance. Elle mit les gaz et se faufila dans les rues et ruelles, évitant les passants avec souplesse.
Elle arriva à un passage étroit bordé de bâtiments bâtis serré. C’était une ruelle sombre et relativement étroite ou était assis deux vagabonds, il y en avait un de chaque coté enroulé dans de vieux draps souillé. Ca passait juste, pour s’amuser elle poussa le moteur au fond, ce qui provoqua une fumée épaisse d’échappement, de poussière et de pneus brûlés.
Lorsqu’elle arriva au deux tiers de l’artère, deux brigands bionique déchirèrent sauvagement les vieux draps qui les avaient fait passer pour des vagabonds. Elle était alors rendue à leur proximité et ces personnages aux allures d’insecte ne perdirent pas une seconde pour lui sauter dessus. Elle fut assez vive d’esprit pour les voir risquer leur manœuvre et eu le temps de relâcher les gaz, se pencher par en arrière pour saisir 2 fusils porté sur le long de ses jambes et de leur tirer à chacun un coup. Un premier, Kent, fut touché en plein vol au corps, il retomba aussitôt par terre, inanimé. Le temps qu’elle tourne la tête pour viser le second, Vick, il avait eu le temps de sauté sur sa moto. Avec la hâte du moment elle tenta de lui tirer dans la tête. Mais à cause de la vitesse des événements elle lui envoya un tir à la mâchoire qui se déboîta au complet. Il tomba dans le passage en se tortillant de douleur. Sans se retourner pour voir son œuvre elle rangea ses fusils et se releva pour essayer de reprendre en main le guidon de sa moto. Avant de pouvoir atteindre les manettes de gaz, l’Homme de fer lui fit face sortant de la droite tout juste au bout du couloir que formait la ruelle. Il s’agissait d’un homme gigantesque entièrement rebâti de pièces d’acier. Il s’ancra devant son véhicule et frappa de son poing colossal la roue avant de sa moto. N’étant pas raccroché à son guidon elle fut projetée par-dessus son véhicule quelques mètres plus loin que l’inquisiteur. Elle roula jusqu'à proximité d’une pile de pièces de ferraille empilé mais pu se stabiliser à moitié debout sur ses jambes en position stabilisatrice. De son point de vue elle vit non loin un camion qui bouchait la route qu’elle devrait normalement emprunter pour rentrer chez elle.
Portant son regard vers la gauche, elle fixa l’homme de fer. Elle se ressaisit et plongea sa main gauche dans son sac pour prendre une bombe à l’alcool. Bien que rapide, elle n’eu pas le temps de la sortir complètement qu’Olsen, un autre géant n’ayant de chair visible qu’une partie de son torse et sa tête, la saisi par derrière en jaillissant bruyamment du tas de ferraille. Il lui enveloppa la main de ses gigantesques doigts robotique. La surprise figea Carolina quelques secondes, jusqu’au moment ou elle senti une pression au bras. Avec 2 doigts de son autre main, il lui cassa le bras gauche. Elle poussa un cri de douleur intense. Il prit son sac et la relâcha, elle tomba par terre directement. La fracture était ouverte, elle ne disposait pas de la force pour combattre dans cet état. Elle était en train de geindre et de se tortiller par terre. Les deux voyous qui était encore sain, Homme de fer et Olsen, allèrent dans la ruelle pour voir leur compagnon à la mâchoire démoli qui était en train de se lamenter. Ils le relevèrent, sa gueule saignait abondamment. Olsen couru déchirer de la pèlerines de Carolina un long bandage qu’il revint placer à son ami blessé. Il lui enroula comme un pansement autour de sa tête afin de lui maintenir la mâchoire en place et limité la perte de sang. Ils lui branchèrent ensuite un interprétateur de paroles électronique directement sur la gorge.
Vick : « Cette pétasse de merde, pour qui elle se prend non mais, merde ma mâchoire. »
Olsen : « Si tu veux y aller ont peux terminer la collecte sans toi. »
Vick : « Non mais cette personne tres aimable ne s’en tirera pas comme ça, tu vas voir pauvre connasse tu vas comprendre ta douleur. »
Vick sortie à pleine vitesse de la ruelle et courut lui asséner un coup de pied dans le ventre. Elle perdit le souffle ce qui les amusaient tous beaucoup. Les deux géants revinrent à leur tour entouré de leur présence la jeune femme.
Olsen : « haha, même blessé tu as de la vigueur mon gars. Soit sérieux un peu. Regardons ce qu’elle a de valeur. »
Celui tout de fer la saisie par le cou et la souleva au dessus du sol. Le blessé à la mâchoire débuta en lui arrachant d’un coup sec chacune de ses boucles d’oreille, déchirant les lobes par la même occasion. La pression exercée sur sa gorge empêchait Carolina de crier mais n’empêchait pas ses larmes de couler. Le corps du grand personnage qu’était Olsen avait commencé à s’ouvrir en largeur pendant ce temps, déchirant sa veste miteuse. Cette transformation laissa voir que l’homme était en fait recroquevillé dans cette armure robotique qui le faisait paraître si grand. Il se releva et s’approcha de Carolina. S’adressant à son comparse, il dit :
Olsen : « Mettons tout ce qui a de la valeur dans le fond de mon armure. »
L’un d’eu enleva à Carolina sa veste et son débardeur pendant que l’autre lui enleva sa jupe et ses bottes. Ils lancèrent ses vêtements d’allure coûteux dans la base de l’armure. Carolina était en camisole et en petite culotte, ce qui rendait facilement visible ce qui lui restait comme objets de valeur. Ils prirent ses bracelets aux bras et aux mollets. Elle portait plusieurs bijoux sur l’ensemble de sa chair qui furent tous volés, puis l’homme de fer la jeta par terre au centre de leur cercle. Elle ne gardait plus les allures d’une dame, elle était comme tous ces pauvres de Gauk City, sale, sans argent, l’humiliation en bonus. Fier de leur coup les brigands souriaient de la voir geindre et se tortiller par terre.
Vick : « Oh bon sang, ont va obtenir un bon montant pour ce qu’elle portait. »
Homme de fer : « J’en reviens pas de voir tout les bijoux qu’elle avait sur elle. C’est rare que quelqu’un qui vive ici bas en porte autant.»
Vick : « Ouais, quelle conne. » Se retournant « Vous croyiez que le cerveau de Kent est encore en activité? »
Olsen débouclant sa ceinture : « Bah. Allez voir moi elle me chauffe. »
Vick : « Non mais hey, c’est ma gueule qu’elle a plombée. Je commence, vas voir toi. »
Olsen ne protesta pas et parti voir avec l’Homme de fer dans la ruelle. Vick ne perdit pas de temps, il déchira la camisole de Carolina et lui enleva sa culotte. Celle-ci le suppliait d’arrêter et se débattait sans grand résultat. Il lui empoignait de façon brutale les seins et faisait des mouvements de bassin tout aussi rude. Pendant ce temps Olsen et l’homme de fer coupèrent la tête au niveau du cou de leur compagnon précédemment tué. Ils la mirent au frais dans un bocal rempli d’un liquide adipeux. De retour aux cotés de leur ami, ils le laissèrent terminé impassiblement.
Vick : « Haha, alors ça t’as plu » dit Vick en lui crachant un mollard de sang au visage. Il releva son pantalon. Carolina pleurait et du sang s’écoulait de son entrejambe.
Olsen : « Vraiment pas de classe ça Vick, tu savais que je voulais me vidé moi aussi mais tu ne l’as pas ménagé. » Il la saisie alors par le bras et la retourna. Il appuya sur sa tête pour l’empêcher de se relevé et lui baisa le derrière.
Vick : « Pff, c’est bien mon droit j’ai du payer de ma gueule pour qu’ont l’aille. »
Homme de fer : « Viens Vick, laisse-le finir et allons chercher le camion. »
Ils partirent tout deux vers le camion pendant que leur ami finissait sa petite affaire. Carolina le visage appuyé sur le sol les vit marcher jusqu'à leur véhicule. Ils embarquèrent et les phares s’allumèrent. Ils se mirent à avancer tranquillement, les phares grossirent jusqu'à ce que le camion s’immobilise à proximité. Elle eu le temps de sentir son agresseur venir en elle qu’aussitôt elle fut soulevé et jeté dans la boite du camion comme une poche de patate. Olsen réintégra son armure, mit la moto dans la boite du camion puis ils prirent tous la route.
Homme de fer : « Bien, vu qu’elle est fini celle la, j’ai une bonne idée d’endroit pour une mort amusante. Ca a toujours été la finale mon plaisir. »
Olsen : « où ça? »
Homme de fer : « Près de la décharge, dans la région des bunkers, il y a une éolienne, les pales sont en fer et tourne assez rapidement. »
Vick : « haha moi je seconde. »
Olsen : « Hum. Ok. Allons-y pour l’éolienne ça fera différent »
L’homme de fer était au volant, il démarra avec à ses coté Vick. Olsen était dans la boite pour surveiller leur proie. Le trajet fut plutôt silencieux mis à part quelques menaces de la part des voyous. Carolina ne vivait pas le moment présent mais dans l’espérance d’un miracle, de ne pas mourir, de ne pas perdre tous ce qu’elle avait acquis ces dernier temps. Olsen la maintenue immobile tout au long du trajet qui lui sembla une éternité. Un long et dur moment qu’elle espérait voir finir au plus vite, mais elle savait ce qui l’attendait à la fin de ce trajet. Priant Dieu, espérant n’importe quoi même si ce n’était pas dans ses croyances, elle tentait le peu qu’elle pouvait encore faire. Ils arrivèrent dans un tournant d’une route située en altitude. Les vents étaient excessivement forts à cet endroit. Au bas du précipice on pouvait voir des maisons aux allures de bunkers lugubres. L’endroit était sombre, la nuit ont y voyait rien. C’était somme toute un endroit crasseux remplit de rats où la base de l’éolienne s’engouffrait. L’homme de fer monta sur le toit du camion pour s’assurer une bonne hauteur de lancé.
Homme de fer : « Olsen, donne la moi »
Olsen, d’une main, la saisie par la taille et lança ce corps épuisé à l’homme de fer. Celui-ci l’attrapa avec une relative douceur au creux de ses mains. Quelques larmes s’écoulèrent des yeux de leur victime. Comme trop souvent aucun miracle n’aurait lieu ce soir là.
Homme de fer : « Vous filmé ça mes amis? Voici la mort numéro 124 HAHAHA » En criant ces mots il la lança dans les évents.
Comme on se débarrasserait d’un sac de viande avarié, il la jeta sur le moulin. L’orientation en vol eu pour cause le déchiquètement total de ses jambes, son bras cassé fût aussi arraché et sa gorge effleurée au niveau de la carotide. Ils rirent tous grassement lorsque les palmes lui réduisirent les jambes en charpie. Tous ses morceaux tombèrent au creux du gouffre. Il ne fallu pas 30 secondes pour que l’homme de fer se remette à parler.
Homme de fer : « Allez ont fait de l’air. » Ils rembarquèrent dans le camion et partirent.
Carolina était étendue les yeux grands ouverts, il ne lui restait qu'un souffle de vie. Les rats sentirent sa chair fraîche, ils se rapprochèrent et se battaient pour prendre possession de morceaux de jambes, elle n’était plus totalement consciente déjà lorsqu’elle vit la porte d’un bunker qui lui faisait face s’ouvrir. Une silhouette dans la lumière s’empressa de venir vers elle. Elle s’évanouit.
Cette silhouette c’était celle du professeur Grabo, il était sorti, alarmé par une baisse de courant dans ses installations. En ouvrant sa lourde porte de fer il vit le corps éparpillé par terre. Il eu le temps voir Carolina s’évanouir devant lui avant de faire quoi que ce soit, elle était en très mauvaise conditions. Sans l’air de s’inquiéter il ramassa les débris de la femme qui était étalé sous ses yeux et amena ceux-ci dans son laboratoire. Il s’aida d’une table à roulettes pour la trainer jusqu’à une petite salle fermé avec des tonnes de gadgets empilé. Plusieurs fils pendait du plafond, des tuiles était cassé et les murs taché. La pièce en décrépitude témoignait d’une absence totale d’entretien.
Avec un sang-froid admirable il installa son haut de corps ainsi que l’avant bras gauche qu’il avait pu récupérer sur un système de survie électronique de sa conception. Celui-ci permettait de contrôler l’état des différents éléments de son anatomie. Un coup que son état fut à peu près stabilisé, il l’examina en profondeur. Il remarqua la présence de semence en elle, il effectua quelques tests et conclu que son ovule avait été fécondée. Il incuba la graine de vie aussitôt dans un tube de croissance pour lui permettre de faire sa gestation.
Le premier chapitre et les 2 premiers paragraphes du deuxième.
Chapitre 1 : Après le rêve l’abysse
La scène débute dans un bâtiment industriel de cette zone appelé la Haute-Ville. Un endroit d’une propreté immaculé, les couloirs d’apparence épurée donnant un ton technologique. Arrivant du creux d’un couloir une jeune femme et un homme discutaient, Carolina et un de ses collègues de l’endroit. Tous les deux vêtu élégamment, ils conversaient en marchant.
Mr H Jones : « Vous savez, il n’est pas très prudent de continuer à vivre Dans les bas fonds de Gauk city Madame. Avec vos possessions actuelles il est inévitable que vous causiez la jalousie de vos pairs»
Caro : « Ne vous inquiétez pas comme ça, je cause peut-être la jalousie mais je sais me battre et j’ai de quoi me défendre. » Elle posa la main sur un des fusils porté à sa taille. « N’oubliez pas que je viens de ces cartiers, je sais comment ont y joue. »
Mr H Jones : « Ça reste de l’imprudence! Vous êtes maintenant un élément complet pour nous, votre avenir ici est très prometteur. »
Caro : « Je le sais bien. »
Mr H Jones : « Vous n’agissez pas en conséquence pourtant, vous devriez vivre dans la ville haute, la ou il y a de la sécurité pour nous, les vrais gens. Vous en avez les moyens maintenant. »
Caro : « … Pas de mépris s’il vous plaît. Ceux à l’extérieur de la haute ville ont la vie plus dure mais n’en sont pas moins des gens. J’attends d’avoir un montant de coté avant d’emménager pour de bon ici.»
Mr H Jones : « Soyons sérieux, vous en auriez un montant de coté, si vous cessiez de mettre votre argent sur des futilités. Vous faire produire des bijoux particuliers sur commande comme vos boucles d’oreilles, était-ce vraiment important? »
Il finit sa phrase en pointant un de ses lobes. Carolina s’arrêta sec, insultée elle répliqua aussitôt.
Caro : « Ce que je fais de mon argent ne vous regarde pas monsieur Jones. »
Arrivant au bout du couloir, Carolina sans saluer son collègue prit d’un pas décidé une porte menant au stationnement. Elle marcha dans le garage intérieur jusqu'à sa moto. Elle possédait un engin turbocompressé de belle allure. Elle mit une pèlerine sale pour cacher ses habits de citadine, se disant en elle-même :
« Ce Jones …. Je n’ai jamais rien eu de beau qui était à moi avant de travailler ici.»
Elle démarra son engin, sans le laisser ronronner bien longtemps elle poussa les manettes au fond. Seulement à 3 pieds des portes de sortie que ces dernières s’ouvrirent pour la laisser passer comme un éclair.
Caro : «J’ai le droit de m’acheter de jolies choses, j’ai accès à la ville haute quand même. »
Tout juste sortie du garage elle embraya la deuxième vitesse, s’en suit une accélération extrêmement féroce.
Caro : «Je fais comme je veux.»
La surface des routes de la ville haute était en une sorte de béton doré qui demandait peu d’entretien. Les véhicules qui y étaient disponible étaient extrêmement performants et facile à prendre en main. Partout autour d’elle défilaient de hauts immeubles aux formes courbées d’une blancheur immaculée. Les routes comme les trottoirs étaient d’une couleur matte et d’une propreté sans faille. Moteur à plein régime, Carolina avançait à vive allure au travers des autres véhicules qui roulaient eux aussi à bonne vitesse. Les piétons se promenaient vêtus d’habits conforme les uns aux autres et correspondaient à certains critères d’esthétique de la haute ville. Pour ne pas ralentir le trafic les piétons avaient comme commodité des pontons qui passait par dessus les carrefours.
Près des limites de la ville haute elle se donna 2 petites tapes sur la tempe, sur le coté de la tête un cercle métallisé apparu et un gadget électronique pas plus gros qu’une pièce poussa alors sur sa tempe. Il s’agissait de l’identifiant unique associé à son ADN, utilisé entre autre pour les contrôles d’accès et pour des systèmes de communications. La circulation dans la haute ville étant réservé à l’élite, une identification fiable était nécessaire pour bien géré les accès à la ville. Sans ralentir, elle passa devant un poste de contrôle automatisé qui valida sa sortie de la haute ville. Elle abordait alors une descente régulière sur une route non pavé, elle relâcha les gaz et se laissa porter par la pente et ses pensées.
« La mentalité de merde c’est humain. Peu importe la position dans la société en Haute comme en Basse-Ville il y a des cons. »
**La descente à laquelle procédait Carolina était dans une zone désertique qui sépare Geuk city et la Haute ville. Dans cette zone les déplacements sont contrôlés. Ceux qui ne sont pas autorisé dans la région haute sont tirés à vu par des robots, à moins d’autorisations spéciales pour les petites gens. Ce genre d’autorisations permettait à des personnes choisis d’effectuer des travaux plutôt ingrats de maintenance plutôt bien payé. Une condition était demandée pour être éligible à ce type d’emploi, être organique à au moins 92%, vêtements inclus. Les cybers n’avaient pas accès à cette zone restreinte pour des raisons de sécurité. Pour cette même raison les humains hybride en ville haute ne pouvaient la quitté que par des zones dites neutre qui permettait le transfert entre les grandes villes, mais à vrai dire même les 100% biologique préférait passer par les zones neutre qui était pré sécurisé. Il faut dire qu’après deux semaines consécutives hors zone, à moins d'autorisations officielles, le certificat de sécurité de l’implant se désactivait automatiquement. Un coup le certificat expiré le retour par une zone restreinte devenait pratiquement irréalisable, sans risquer la mort. L’autre cas d’exception était d’être membre d’une organisation de forces spéciales, ces derniers étant déclaré toujours actifs.
Carolina s’approchait des limites de Gauk City. Le changement de classe en entrant dans ce quartier était flagrant. La crasse, la saleté heurtait les yeux au premier regard. Les gens assis dans la rue, des airs malheureux accrochés aux visages. L’odeur des cadavres et les morceaux de robots éparpillés un peu partout complétaient cet incroyable décor d’après guerre. Il faut dire que pour ajouter au malheur les criminels de la haute ville étaient bien souvent relâchés dans la basse ville après cond**nation. Les plus coriaces survivaient devenant Power Freaks bien que la plupart trépassaient. Sur sa moto elle roulait néanmoins sans inquiétude. Comme tout le monde élevé dans la pauvreté elle était habituée à ce spectacle. C’était son univers depuis sa naissance. Elle mit les gaz et se faufila dans les rues et ruelles, évitant les passants avec souplesse.
Elle arriva à un passage étroit bordé de bâtiments bâtis serré. C’était une ruelle sombre et relativement étroite ou était assis deux vagabonds, il y en avait un de chaque coté enroulé dans de vieux draps souillé. Ca passait juste, pour s’amuser elle poussa le moteur au fond, ce qui provoqua une fumée épaisse d’échappement, de poussière et de pneus brûlés.
Lorsqu’elle arriva au deux tiers de l’artère, deux brigands bionique déchirèrent sauvagement les vieux draps qui les avaient fait passer pour des vagabonds. Elle était alors rendue à leur proximité et ces personnages aux allures d’insecte ne perdirent pas une seconde pour lui sauter dessus. Elle fut assez vive d’esprit pour les voir risquer leur manœuvre et eu le temps de relâcher les gaz, se pencher par en arrière pour saisir 2 fusils porté sur le long de ses jambes et de leur tirer à chacun un coup. Un premier, Kent, fut touché en plein vol au corps, il retomba aussitôt par terre, inanimé. Le temps qu’elle tourne la tête pour viser le second, Vick, il avait eu le temps de sauté sur sa moto. Avec la hâte du moment elle tenta de lui tirer dans la tête. Mais à cause de la vitesse des événements elle lui envoya un tir à la mâchoire qui se déboîta au complet. Il tomba dans le passage en se tortillant de douleur. Sans se retourner pour voir son œuvre elle rangea ses fusils et se releva pour essayer de reprendre en main le guidon de sa moto. Avant de pouvoir atteindre les manettes de gaz, l’Homme de fer lui fit face sortant de la droite tout juste au bout du couloir que formait la ruelle. Il s’agissait d’un homme gigantesque entièrement rebâti de pièces d’acier. Il s’ancra devant son véhicule et frappa de son poing colossal la roue avant de sa moto. N’étant pas raccroché à son guidon elle fut projetée par-dessus son véhicule quelques mètres plus loin que l’inquisiteur. Elle roula jusqu'à proximité d’une pile de pièces de ferraille empilé mais pu se stabiliser à moitié debout sur ses jambes en position stabilisatrice. De son point de vue elle vit non loin un camion qui bouchait la route qu’elle devrait normalement emprunter pour rentrer chez elle.
Portant son regard vers la gauche, elle fixa l’homme de fer. Elle se ressaisit et plongea sa main gauche dans son sac pour prendre une bombe à l’alcool. Bien que rapide, elle n’eu pas le temps de la sortir complètement qu’Olsen, un autre géant n’ayant de chair visible qu’une partie de son torse et sa tête, la saisi par derrière en jaillissant bruyamment du tas de ferraille. Il lui enveloppa la main de ses gigantesques doigts robotique. La surprise figea Carolina quelques secondes, jusqu’au moment ou elle senti une pression au bras. Avec 2 doigts de son autre main, il lui cassa le bras gauche. Elle poussa un cri de douleur intense. Il prit son sac et la relâcha, elle tomba par terre directement. La fracture était ouverte, elle ne disposait pas de la force pour combattre dans cet état. Elle était en train de geindre et de se tortiller par terre. Les deux voyous qui était encore sain, Homme de fer et Olsen, allèrent dans la ruelle pour voir leur compagnon à la mâchoire démoli qui était en train de se lamenter. Ils le relevèrent, sa gueule saignait abondamment. Olsen couru déchirer de la pèlerines de Carolina un long bandage qu’il revint placer à son ami blessé. Il lui enroula comme un pansement autour de sa tête afin de lui maintenir la mâchoire en place et limité la perte de sang. Ils lui branchèrent ensuite un interprétateur de paroles électronique directement sur la gorge.
Vick : « Cette pétasse de merde, pour qui elle se prend non mais, merde ma mâchoire. »
Olsen : « Si tu veux y aller ont peux terminer la collecte sans toi. »
Vick : « Non mais cette personne tres aimable ne s’en tirera pas comme ça, tu vas voir pauvre connasse tu vas comprendre ta douleur. »
Vick sortie à pleine vitesse de la ruelle et courut lui asséner un coup de pied dans le ventre. Elle perdit le souffle ce qui les amusaient tous beaucoup. Les deux géants revinrent à leur tour entouré de leur présence la jeune femme.
Olsen : « haha, même blessé tu as de la vigueur mon gars. Soit sérieux un peu. Regardons ce qu’elle a de valeur. »
Celui tout de fer la saisie par le cou et la souleva au dessus du sol. Le blessé à la mâchoire débuta en lui arrachant d’un coup sec chacune de ses boucles d’oreille, déchirant les lobes par la même occasion. La pression exercée sur sa gorge empêchait Carolina de crier mais n’empêchait pas ses larmes de couler. Le corps du grand personnage qu’était Olsen avait commencé à s’ouvrir en largeur pendant ce temps, déchirant sa veste miteuse. Cette transformation laissa voir que l’homme était en fait recroquevillé dans cette armure robotique qui le faisait paraître si grand. Il se releva et s’approcha de Carolina. S’adressant à son comparse, il dit :
Olsen : « Mettons tout ce qui a de la valeur dans le fond de mon armure. »
L’un d’eu enleva à Carolina sa veste et son débardeur pendant que l’autre lui enleva sa jupe et ses bottes. Ils lancèrent ses vêtements d’allure coûteux dans la base de l’armure. Carolina était en camisole et en petite culotte, ce qui rendait facilement visible ce qui lui restait comme objets de valeur. Ils prirent ses bracelets aux bras et aux mollets. Elle portait plusieurs bijoux sur l’ensemble de sa chair qui furent tous volés, puis l’homme de fer la jeta par terre au centre de leur cercle. Elle ne gardait plus les allures d’une dame, elle était comme tous ces pauvres de Gauk City, sale, sans argent, l’humiliation en bonus. Fier de leur coup les brigands souriaient de la voir geindre et se tortiller par terre.
Vick : « Oh bon sang, ont va obtenir un bon montant pour ce qu’elle portait. »
Homme de fer : « J’en reviens pas de voir tout les bijoux qu’elle avait sur elle. C’est rare que quelqu’un qui vive ici bas en porte autant.»
Vick : « Ouais, quelle conne. » Se retournant « Vous croyiez que le cerveau de Kent est encore en activité? »
Olsen débouclant sa ceinture : « Bah. Allez voir moi elle me chauffe. »
Vick : « Non mais hey, c’est ma gueule qu’elle a plombée. Je commence, vas voir toi. »
Olsen ne protesta pas et parti voir avec l’Homme de fer dans la ruelle. Vick ne perdit pas de temps, il déchira la camisole de Carolina et lui enleva sa culotte. Celle-ci le suppliait d’arrêter et se débattait sans grand résultat. Il lui empoignait de façon brutale les seins et faisait des mouvements de bassin tout aussi rude. Pendant ce temps Olsen et l’homme de fer coupèrent la tête au niveau du cou de leur compagnon précédemment tué. Ils la mirent au frais dans un bocal rempli d’un liquide adipeux. De retour aux cotés de leur ami, ils le laissèrent terminé impassiblement.
Vick : « Haha, alors ça t’as plu » dit Vick en lui crachant un mollard de sang au visage. Il releva son pantalon. Carolina pleurait et du sang s’écoulait de son entrejambe.
Olsen : « Vraiment pas de classe ça Vick, tu savais que je voulais me vidé moi aussi mais tu ne l’as pas ménagé. » Il la saisie alors par le bras et la retourna. Il appuya sur sa tête pour l’empêcher de se relevé et lui baisa le derrière.
Vick : « Pff, c’est bien mon droit j’ai du payer de ma gueule pour qu’ont l’aille. »
Homme de fer : « Viens Vick, laisse-le finir et allons chercher le camion. »
Ils partirent tout deux vers le camion pendant que leur ami finissait sa petite affaire. Carolina le visage appuyé sur le sol les vit marcher jusqu'à leur véhicule. Ils embarquèrent et les phares s’allumèrent. Ils se mirent à avancer tranquillement, les phares grossirent jusqu'à ce que le camion s’immobilise à proximité. Elle eu le temps de sentir son agresseur venir en elle qu’aussitôt elle fut soulevé et jeté dans la boite du camion comme une poche de patate. Olsen réintégra son armure, mit la moto dans la boite du camion puis ils prirent tous la route.
Homme de fer : « Bien, vu qu’elle est fini celle la, j’ai une bonne idée d’endroit pour une mort amusante. Ca a toujours été la finale mon plaisir. »
Olsen : « où ça? »
Homme de fer : « Près de la décharge, dans la région des bunkers, il y a une éolienne, les pales sont en fer et tourne assez rapidement. »
Vick : « haha moi je seconde. »
Olsen : « Hum. Ok. Allons-y pour l’éolienne ça fera différent »
L’homme de fer était au volant, il démarra avec à ses coté Vick. Olsen était dans la boite pour surveiller leur proie. Le trajet fut plutôt silencieux mis à part quelques menaces de la part des voyous. Carolina ne vivait pas le moment présent mais dans l’espérance d’un miracle, de ne pas mourir, de ne pas perdre tous ce qu’elle avait acquis ces dernier temps. Olsen la maintenue immobile tout au long du trajet qui lui sembla une éternité. Un long et dur moment qu’elle espérait voir finir au plus vite, mais elle savait ce qui l’attendait à la fin de ce trajet. Priant Dieu, espérant n’importe quoi même si ce n’était pas dans ses croyances, elle tentait le peu qu’elle pouvait encore faire. Ils arrivèrent dans un tournant d’une route située en altitude. Les vents étaient excessivement forts à cet endroit. Au bas du précipice on pouvait voir des maisons aux allures de bunkers lugubres. L’endroit était sombre, la nuit ont y voyait rien. C’était somme toute un endroit crasseux remplit de rats où la base de l’éolienne s’engouffrait. L’homme de fer monta sur le toit du camion pour s’assurer une bonne hauteur de lancé.
Homme de fer : « Olsen, donne la moi »
Olsen, d’une main, la saisie par la taille et lança ce corps épuisé à l’homme de fer. Celui-ci l’attrapa avec une relative douceur au creux de ses mains. Quelques larmes s’écoulèrent des yeux de leur victime. Comme trop souvent aucun miracle n’aurait lieu ce soir là.
Homme de fer : « Vous filmé ça mes amis? Voici la mort numéro 124 HAHAHA » En criant ces mots il la lança dans les évents.
Comme on se débarrasserait d’un sac de viande avarié, il la jeta sur le moulin. L’orientation en vol eu pour cause le déchiquètement total de ses jambes, son bras cassé fût aussi arraché et sa gorge effleurée au niveau de la carotide. Ils rirent tous grassement lorsque les palmes lui réduisirent les jambes en charpie. Tous ses morceaux tombèrent au creux du gouffre. Il ne fallu pas 30 secondes pour que l’homme de fer se remette à parler.
Homme de fer : « Allez ont fait de l’air. » Ils rembarquèrent dans le camion et partirent.
Carolina était étendue les yeux grands ouverts, il ne lui restait qu'un souffle de vie. Les rats sentirent sa chair fraîche, ils se rapprochèrent et se battaient pour prendre possession de morceaux de jambes, elle n’était plus totalement consciente déjà lorsqu’elle vit la porte d’un bunker qui lui faisait face s’ouvrir. Une silhouette dans la lumière s’empressa de venir vers elle. Elle s’évanouit.
Chapitre 2 : L’âcre renaissance
Cette silhouette c’était celle du professeur Grabo, il était sorti, alarmé par une baisse de courant dans ses installations. En ouvrant sa lourde porte de fer il vit le corps éparpillé par terre. Il eu le temps voir Carolina s’évanouir devant lui avant de faire quoi que ce soit, elle était en très mauvaise conditions. Sans l’air de s’inquiéter il ramassa les débris de la femme qui était étalé sous ses yeux et amena ceux-ci dans son laboratoire. Il s’aida d’une table à roulettes pour la trainer jusqu’à une petite salle fermé avec des tonnes de gadgets empilé. Plusieurs fils pendait du plafond, des tuiles était cassé et les murs taché. La pièce en décrépitude témoignait d’une absence totale d’entretien.
Avec un sang-froid admirable il installa son haut de corps ainsi que l’avant bras gauche qu’il avait pu récupérer sur un système de survie électronique de sa conception. Celui-ci permettait de contrôler l’état des différents éléments de son anatomie. Un coup que son état fut à peu près stabilisé, il l’examina en profondeur. Il remarqua la présence de semence en elle, il effectua quelques tests et conclu que son ovule avait été fécondée. Il incuba la graine de vie aussitôt dans un tube de croissance pour lui permettre de faire sa gestation.